Révélations chocs : comment le Mossad utilise de fausses attaques pour inciter la haine contre les palestiniens, selon des ex-agents de la CIA et du MI5.

Des agents de renseignement occidentaux dénoncent les tactiques d’Israël : de la propagande aux attentats sous faux drapeau

Bonjour, et bienvenue dans cette analyse des tactiques israéliennes que d’anciens agents de renseignement britanniques et américains jugent trompeuses et dangereuses.

Alors que les médias israéliens déclarent le Hamas vainqueur de la guerre, affirmant qu’Israël fait face à l’isolement diplomatique, à la haine mondiale et à la ruine économique, il est crucial de noter que plus de 300 000 Palestiniens sont morts, portés disparus ou blessés, et que Gaza est totalement détruite et invivable pour des décennies. Attribuer la victoire au Hamas aide Israël à se décharger de la pression internationale, lui permettant de perpétuer la notion fallacieuse d’une victimisation juive et israélienne perpétuelle.

Pour Israël, un cessez-le-feu n’est jamais respecté ; il s’agit plutôt d’une pause tactique, une occasion de se regrouper et de planifier l’expulsion permanente des Palestiniens.

L’offensive de propagande et le mythe de la « guerre sainte »

Désormais acculé et ayant échoué à convaincre le monde que le Hamas se trouvait dans chaque maison, école ou bâtiment de Gaza, le gouvernement israélien est en état de panique. L’Organisation des Nations unies a qualifié la situation de génocide, et une majorité claire d’Américains souhaite mettre fin à l’aide financière et militaire à l’État sioniste.

En réponse, Israël a lancé une campagne de propagande d’un milliard de dollars pour restaurer sa réputation aux États-Unis et en Europe. Son objectif est d’utiliser les médias pour inciter à la haine et à la peur des Arabes et des Musulmans. De plus, Israël tente de convaincre les chrétiens occidentaux qu’il se tient en première ligne d’une nouvelle guerre sainte contre l’Islam. Cette hystérie fabriquée pourrait être renforcée par l’exécution d’attaques terroristes sous fausse bannière en Occident.

Les responsables israéliens affirment défendre la « civilisation libre » contre les « barbares » qui cherchent à ramener le monde moderne à un âge sombre de violence et de fanatisme.

Ces préoccupations ne sont pas théoriques. Douze jours seulement après un avertissement concernant la préparation possible d’une attaque sous fausse bannière au Royaume-Uni ou aux États-Unis, fondé sur une hystérie sioniste soudaine concernant l’imminence d’un autre 11 septembre, un attentat meurtrier a eu lieu contre une synagogue à Manchester. Les médias britanniques, comme on pouvait s’y attendre, ont rapidement amalgamé cet acte criminel à l’Islam tout entier, tentant de faire porter la responsabilité aux Palestiniens et à leurs partisans.

Des précédents historiques troublants

Plus troublant encore, aucun grand média n’a questionné le moment opportun de l’attaque, opportun pour l’État d’Israël, ni les circonstances suspectes de l’événement. L’État d’Israël a en effet un historique avéré d’attaques terroristes contre des Juifs et des Israéliens dans des pays étrangers, y compris au Royaume-Uni, comme l’a reconnu l’ancienne agente des renseignements britanniques du MI5, Annie Machon.

Le cas le plus frappant est celui de l’attentat à la voiture piégée devant l’ambassade israélienne à Londres en 1994. Selon l’évaluation officielle de l’officier supérieur du MI5 en charge de l’enquête, le Mossad, l’agence de renseignement extérieure israélienne, aurait bombardé sa propre ambassade. Le dispositif explosif était si sophistiqué qu’il aurait « mangé » toutes les preuves médico-légales, un exploit technique extrêmement rare.

Le verdict formel du MI5 indiquait deux raisons claires à cet acte :

1. Obtenir une sécurité accrue pour l’ambassade. Le MI5 avait auparavant refusé d’augmenter le niveau de menace. L’explosion contrôlée leur a immédiatement donné ce qu’ils désiraient.

2. Le motif politique crucial : deux Palestiniens innocents, actifs dans un réseau de soutien palestinien à Londres qui gagnait du terrain médiatique, ont été arrêtés, accusés de conspiration et condamnés. Leur emprisonnement a immédiatement brisé leur réseau de soutien, qui ne s’est jamais remis sur pied.

En dépit de ces faits, le premier ministre israélien de l’époque avait immédiatement imputé l’attentat de Londres au Hamas et au Hezbollah. Pendant des décennies, les sionistes ont ainsi lié l’Islam, et par conséquent les Palestiniens, au terrorisme, une campagne de propagande particulièrement efficace après le 11 septembre, qui a conduit à une islamophobie pandémique et à la montée des crimes de haine.

Le point de vue de la CIA : un albatros pour les États-Unis

Le problème ne concerne pas seulement la propagande internationale, mais aussi la politique américaine. L’ancien agent de la CIA, Michael Scheuer, qui dirigeait l’équipe de traque d’Oussama Ben Laden, affirme qu’Israël est totalement inutile aux intérêts des États-Unis. Il ne produit rien de nécessaire aux États-Unis et ne fait que les impliquer dans une guerre religieuse avec l’Islam.

Aux États-Unis, Israël corrompt le système politique par l’intermédiaire de ses partisans citoyens américains et contrôle, dans une large mesure, les médias. C’est un véritable « albatros » pour le pays.

De plus, selon des fuites du département de la Justice, Israël dépense des millions de dollars pour tromper les chrétiens américains, les convainquant qu’ils ont un devoir biblique de défendre l’État juif en guerre contre l’Islam, malgré le fait qu’Israël ait été créé 6000 ans après l’écriture de la Bible.

Il est d’ailleurs important de rappeler comment les Juifs sionistes traitent les chrétiens à Jérusalem, où les rapports font état d’une augmentation des agressions (crachats, coups) contre le clergé et du vandalisme des sites chrétiens. Dans l’esprit sioniste, seule la vie des Israéliens compte, car le sionisme est considéré comme un « nazisme juif » dont les chefs se vantent que le droit international ne s’applique pas aux Juifs, car ils sont le peuple élu de Dieu.

Pour masquer sa criminalité, Israël fait pression sur les plateformes de médias sociaux pour censurer et réduire au silence les comptes qui perturbent ses narratifs. Notre chaîne fait partie des plus de 25 000 comptes pro-palestiniens supprimés ou démonétisés par YouTube et Google. Notre survie dépend entièrement de votre soutien pour continuer d’exposer et de confronter les injustices dans le monde.

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