Nous assistons, impuissants et souvent silencieux, à des événements d’une gravité inouïe. La question se pose : comment un pays, fier de ses idéaux de liberté et de justice pour tous, symbolisé par une icône telle que la Statue de la Liberté, peut-il observer ce qui se déroule à Gaza sans le nommer explicitement ?
Une voix s’élève, soulignant une réalité glaçante : le monde serait témoin d’un génocide en cours à Gaza. L’étonnement est profond face à la passivité et au silence qui semblent régner, particulièrement dans les nations qui se drapent dans les valeurs humanitaires. Il est question d’une peur collective, une hésitation à défier les puissants, à énoncer la vérité crue.
Pourtant, cette même voix insiste sur l’impératif moral de briser ce silence. Car au cœur de cette tragédie, ce sont des vies innocentes, des « précieux bébés », qui sont massacrés. Le devoir de parler, de dénoncer, devient alors une urgence absolue, une nécessité dictée par la conscience face à une telle horreur. Il s’agit de s’élever et d’appeler les choses par leur nom, car la vie de ces enfants le mérite.
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