Une information majeure secoue le paysage médiatique et diplomatique : les services de renseignement français auraient eu connaissance, bien avant le 7 octobre, d’indices probants concernant une attaque imminente du Hamas contre Israël. Grâce à leurs informateurs présents dans la bande de Gaza, le renseignement français aurait repéré des signaux alarmants indiquant la préparation d’une catastrophe, une invasion terrestre du territoire israélien.

Les révélations sont d’autant plus troublantes que ces informations auraient été obtenues deux ans auparavant, directement de la bouche de Yahya Sinwar, le chef du Hamas et cerveau présumé des massacres. Si les services français ignoraient la date précise de cette attaque terroriste inédite, qui a coûté la vie à plus de 1100 personnes en Israël, les préparatifs étaient connus.

Des signes précurseurs inquiétants

Plusieurs indices concrets auraient été transmis à Paris. Parmi eux, l’intention de Sinwar d’envoyer plusieurs milliers d’hommes en Israël. On apprend également qu’au cours de l’été 2023, des rivaux salafistes, habituellement sous surveillance du Hamas, auraient reçu des armes de ce dernier et s’entraînaient à ses côtés. Un autre élément alarmant était le non-retour de nombreux jeunes d’un prétendu pèlerinage à La Mecque, alors qu’ils étaient en réalité en entraînement au Liban et en Syrie. Tous ces faits témoignaient d’une accélération manifeste des préparatifs.

Une accusation explosive : israël a-t-il financé le hamas ?

Au-delà de ces révélations sur les services français, des accusations graves émanent d’anciens ministres proches de Benyamin Netanyahou. Ceux-ci auraient affirmé qu’Israël aurait financé le Hamas. Le but ? Légitimer une attaque contre Gaza et, à terme, son annexion. Si cette affirmation est avérée, elle dessinerait un tableau d’une complexité et d’une cynisme effrayants, suggérant que l’escalade actuelle pourrait s’inscrire dans un plan préétabli. L’idée est que ce plan, selon les sources, fonctionnerait « à merveille » aujourd’hui.