Révélations sur un rapport fuitée : la guerre psychologique payée par israël pour propager la peur de l’islam

Préparez-vous à une information qui dépasse largement le cadre de la simple communication pour entrer de plein pied dans celui de la guerre psychologique. Un rapport émanant du gouvernement israélien vient de fuiter, exposant une stratégie calculée visant à manipuler les émotions du public occidental.

Ce rapport choc révèle qu’israël a financé des agences américaines dans le but spécifique de mener une étude approfondie dans cinq pays clés : les États-Unis, la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Espagne. L’objectif n’était pas de tester une campagne publicitaire ordinaire, mais de déterminer très précisément comment manipuler les émotions des gens afin qu’ils revoient favorablement leur opinion sur israël.

Le constat est troublant : la peur comme arme de communication

Selon les conclusions de cette étude, la manière la plus efficace de redorer l’image d’israël n’était pas d’assumer ou de justifier ses propres actions. Au contraire, la stratégie jugée la plus performante consistait à créer une peur collective des musulmans.

Cette propagation de l’islamophobie sert un triple objectif :

1. Détourner la colère et l’attention du public international.

2. Effacer toute compassion ressentie envers les Palestiniens.

3. Retourner l’opinion publique en faveur d’israël.

La science au service de la menace

Tout, du choix des mots aux images diffusées, en passant par l’impact émotionnel ciblé, a été méticuleusement testé par des experts. Ces professionnels ont calculé quelle phrase, quelle image ou quel message était le plus à même d’affecter le cerveau du public, transformant ainsi la perception d’une victime potentielle en celle d’une menace immédiate.

Ce niveau de manipulation et d’instrumentalisation de la peur démontre l’ampleur des efforts déployés pour influencer la conscience collective. Bien que des études aient pu être achetées pour répandre la propagande, la conscience des gens, elle, ne peut l’être.

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