L’Institut Weizmann des Sciences, souvent présenté comme un fleuron de la recherche mondiale, aurait été bien plus qu’un simple centre scientifique civil. Selon des révélations choquantes, ce « Saint-Graal » scientifique d’Israël aurait dissimulé un rôle central et discret au sein du complexe militaro-scientifique israélien, et ce, pendant des décennies. La récente frappe iranienne, loin d’être un acte aveugle, aurait visé ce cœur secret, mettant en lumière des programmes et des collaborations jusqu’alors inconnus du grand public.
Le double visage d’un temple de la science
Derrière l’image de laboratoires dédiés à la cancérologie ou à la biologie, l’Institut Weizmann aurait été un pilier discret impliqué dans des programmes de développement d’armes biologiques. Des sources internes et la presse iranienne affirment qu’il y était question de concocter des virus et des armes bactériologiques sous financement européen. Les « matériaux bio-inspirés développés pour la défense » n’étaient, en réalité, qu’un euphémisme pour désigner des armes bactériologiques ou des virus militarisés.
Ce qui s’y trouvait et a été pulvérisé en quelques minutes était d’une valeur inestimable et d’une nature sensible :
• Des milliers d’échantillons d’ADN et d’ARN humain et animal.
• Des lignées cellulaires embryonnaires utilisées dans des expérimentations délicates.
• Des tissus cardiaques et ADN/ARN modifiés, ainsi que des lignées cellulaires humaines/souris congelées, incluant seize ans de recherche sur des mouches génétiquement modifiées pour des maladies neurodégénératives.
• Des virus sur-mesure et des anticorps synthétiques.
• Des données confidentielles liées à des projets européens et américains, y compris de la NASA, représentant 91 ans de patrimoine scientifique d’une valeur estimée à 5 milliards de dollars.
L’incubateur de l’espionnage militaire et des technologies de guerre
Loin de se cantonner à la recherche fondamentale, l’Institut Weizmann aurait également servi d’incubateur pour l’élite des unités 8200 (cyberguerre) et Talpiot (recherche militaire). Ses chercheurs auraient été à l’origine de concepts militaires avancés :
• Des algorithmes de surveillance en temps réel déployés à Gaza.
• Des systèmes de brouillage GPS destinés aux drones de combat.
• Des modèles de guerre électronique testés directement sur le terrain.
La presse iranienne, citant des médias israéliens, l’a même qualifié de « cerveau scientifique et militaire du régime ».
Des financements européens controversés
Le véritable scandale, selon l’article, résiderait également dans la provenance des fonds. L’Institut Weizmann aurait bénéficié de 63 subventions du Conseil Européen de la Recherche (ERC) entre 2021 et 2025, ce qui en faisait le troisième bénéficiaire mondial, devant des institutions comme Oxford ou le MIT. À cela s’ajouteraient 118 financements Horizon Europe, dont quatre des 31 bourses phares en biotechnologie. Ces fonds européens auraient été alloués à des projets à « double-usage » (civilo-militaires), soulevant des questions éthiques et stratégiques.
La riposte iranienne : une précision chirurgicale
Contrairement au récit officiel d’une frappe aléatoire, l’attaque iranienne aurait été d’une précision chirurgicale. Elle aurait consisté en une saturation délibérée du système Iron Dome avec des drones et missiles bas de gamme, suivie, pendant les onze minutes de rechargement du système, par l’envoi de missiles hypersoniques ciblant spécifiquement l’Institut Weizmann. Deux impacts directs auraient suffi à pulvériser 90% des bâtiments, rayant 45 laboratoires de la carte, pour des dégâts estimés à 5 milliards de dollars. L’absence de victimes civiles est qualifiée de « miracle ».
L’omerta médiatique et la censure israélienne
Les médias occidentaux, quant à eux, auraient minimisé ou ignoré cette dimension militaire, pleurant la « perte pour l’humanité » en se concentrant sur les laboratoires de cancérologie ou de biologie. Aucune mention n’aurait été faite de l’anéantissement du plus grand centre de recherche militaire bio-inspirée d’Israël. De son côté, le régime israélien aurait censuré les images satellites et interdit l’accès aux journalistes, cherchant à dissimuler l’étendue des dégâts et à protéger le mythe d’une « armée invincible ».
L’ironie de l’histoire et les enjeux de demain
Cette destruction du Weizmann par Téhéran est présentée comme une riposte à la présumée élimination de scientifiques nucléaires iraniens par le Mossad, ainsi qu’à l’humiliation de voir Israël développer des armes bio-inspirées sur son sol avec des fonds européens. L’ironie suprême réside dans le fait que les mêmes médias dénonçant le programme nucléaire iranien auraient ignoré que l’Institut Weizmann fut le berceau de la bombe atomique israélienne par l’intermédiaire de son fondateur, Ernst David Bergmann.
Cette frappe stratégique marque un tournant, suggérant que la prochaine guerre se jouera non plus dans les tranchées, mais dans les éprouvettes, révélant une nouvelle dimension du conflit que beaucoup n’auraient pas vu venir.
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