L’inaction de l’Europe face à certaines situations critiques est de plus en plus mise en question, soulevant des accusations graves de complicité. En effet, la poursuite d’accords de libre-échange, de contrats culturels, économiques et scientifiques avec Israël, sans action concrète pour freiner ou mettre fin à des situations alarmantes, conduit certains à affirmer que l’Europe se rend activement complice de génocide.
Cette perspective est renforcée par des déclarations de figures internationales de premier plan. Antonio Guterres, le chef de l’ONU, a souligné la gravité de la situation en déclarant que « la famine n’est pas seulement une question de nourriture ; c’est l’effondrement délibéré des systèmes nécessaires à la survie humaine et donc un échec pour l’humanité toute entière ». Cette affirmation interroge directement la responsabilité collective.
Face à un tel constat, la question de la complicité prend une nouvelle dimension. Si la famine est le résultat d’un effondrement délibéré des systèmes vitaux, alors l’inaction et le maintien de relations normales par des puissances comme l’Europe peuvent être perçus comme une forme de complicité. L’échec n’est plus seulement celui d’une entité isolée, mais un échec pour l’humanité dans son ensemble, où chacun est potentiellement impliqué par son silence ou son inaction.
Il est donc crucial de s’interroger : quelles réactions font défaut ? Que manque-t-il pour que l’Europe, et la communauté internationale plus largement, agissent pour prévenir ce qui est décrit comme un effondrement délibéré des systèmes de survie ? La question de la complicité n’est plus une simple interrogation, mais un appel urgent à la réflexion et à l’action.
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