L’état profond démasqué : les forces occultes derrière netanyahou et la manipulation de l’onu

L’état profond transnational contre les velléités de paix

Dans les coulisses de la géopolitique actuelle, les forces qui œuvrent pour la guerre se heurtent à celles qui cherchent l’apaisement. Si des initiatives de paix, comme l’appel téléphonique récent entre Donald Trump et Vladimir Poutine, peuvent surprendre, elles révèlent l’existence de dynamiques contraires au sein des structures de pouvoir occidentales. Il existe un « état profond » — un réseau de personnalités qui détiennent des leviers de commande et échappent au contrôle populaire — non seulement aux États-Unis, mais aussi au Royaume-Uni et en Israël.

Regardez l’intégralité de l’entretien avec Thierry Meyssan pour comprendre les ramifications de ce pouvoir occulte :

Les maîtres d’œuvre derrière netanyahou

La récente escalade à Gaza n’opposait pas uniquement Palestiniens et Israéliens ; elle était le fruit de l’action de ceux qui poussent délibérément à la guerre. En Israël, cet état profond poursuit un idéal issu du sionisme révisionniste de Jabotinsky, dont le but est l’anéantissement complet du peuple palestinien, dissimulé sous le prétexte de la lutte contre le Hamas.

Plusieurs figures américaines et israéliennes seraient au cœur de cette manœuvre. On compte notamment Elliott Abrams, qui a orchestré le gouvernement de coalition de Benyamin Netanyahou. Nathan Sharansky, à la fois Américain, Israélien et Russe, serait responsable de la propagande pro-israélienne au niveau mondial. D’autres ministres, comme Rodermer (Affaires stratégiques) et Shilak (Diaspora), participent également à cette structure de pouvoir non élue. L’armée israélienne n’aurait d’ailleurs pas réussi à lutter efficacement contre le Hamas, comme en témoigne le retour en uniforme de milliers de ses soldats peu après la fin des combats.

De la noblesse britannique au noyautage des nations unies

Ce phénomène n’est pas isolé. Le même groupe exerce une influence similaire au Royaume-Uni. Malgré son image de démocratie, le Royaume-Uni fonctionne comme une société de classes où la noblesse anglaise, et non britannique, contrôle la politique étrangère et l’armée. Il existe une continuité dans la politique britannique depuis le XIXe siècle, dont l’axe principal est la volonté de faire constamment la guerre à la Russie (ou à l’Union soviétique) et à nouveau à la Russie aujourd’hui.

Plus alarmant encore, ces groupes auraient pris le contrôle de l’administration des Nations Unies, permettant ainsi la manipulation des processus internationaux. Des compte-rendus du Conseil de sécurité auraient été entièrement falsifiés. Un exemple flagrant concerne le JCPOA (l’accord sur le nucléaire iranien) : l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni auraient accusé l’Iran d’avoir violé l’accord pour justifier le rétablissement de sanctions, alors que c’étaient ces trois pays qui auraient manqué à leurs obligations. Non seulement cela, mais une note du Secrétariat général de l’ONU aurait institué ces sanctions, passant outre l’avis du Conseil de sécurité, un fait d’une gravité absolue.

Il est même soutenu que la guerre en Syrie a été organisée depuis New York, au sein même des Nations Unies.

Échec et résistance

Ces groupes transnationaux, qui mènent la même politique belliqueuse dans plusieurs pays simultanément, sont aujourd’hui en situation d’échec. Les efforts diplomatiques, notamment ceux du président Trump, visant à rétablir la paix (comme ce fut le cas en Israël ou potentiellement en Ukraine), représentent un pas supplémentaire contre l’emprise de cet état profond transnational. Bien que Netanyahou cherche à s’attribuer le mérite des plans de paix, la population israélienne reconnaît majoritairement que ces avancées sont le fait de Donald Trump.

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