La france, une colonie israélienne ? Les accusations d’une influence démesurée.

Dans une discussion qui secoue le débat public, la question de l’influence israélienne en France est posée avec une acuité particulière. L’idée que la France serait devenue une « colonie israélienne » ou la « putain d’Israël » est avancée, soulignant une perception d’ingérence profonde dans les affaires intérieures françaises. Cette perspective est alimentée par plusieurs observations et accusations qui touchent divers pans de la société.

Une présence perçue comme dominante

La vidéo met en lumière ce qui est décrit comme une omniprésence et une influence considérable de la communauté juive et des intérêts israéliens en France. Dès le départ, il est affirmé que « tous ceux qui tiennent caméra sont juifs, » et que « la France est aujourd’hui la putain d’Israël, nous sommes une colonie israélienne. » Cette allégation est renforcée par l’affirmation que l’émancipation des Juifs, initiée par Napoléon III en 1808 avec l’attribution d’un territoire en Algérie, est aujourd’hui détournée pour « écraser » les « vrais Français. »

L’ingérence politique et la question du CRIF

Un point central de la critique concerne l’ingérence politique. Il est suggéré qu’Israël est l’un des pays qui s’ingère le plus dans les affaires intérieures françaises, avec une grande compétence pour trouver des relais. La présence du Président et de plusieurs ministres au dîner annuel du CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France) est jugée « choquante. » Des allégations sont faites selon lesquelles ces dîners seraient des lieux où les ministres de la République se feraient « engueuler platement » et où des directives seraient données, comme l’exemple d’un Premier Ministre qui aurait été enjoint de convoquer l’ambassadeur d’Iran. Le fait que l’hymne national d’Israël soit chanté par des députés de droite comme de gauche, des « amis d’Israël » opposés à la reconnaissance unilatérale d’un État palestinien, est également présenté comme une image « assez rare » et troublante. Pour certains, « Israël c’est intouchable. »

L’influence sur la justice et la finance

L’influence ne se limiterait pas au domaine politique. Des interventions de certaines associations sont pointées du doigt dans des affaires judiciaires, telle l’affaire Fofana, où il est insinué que le CRIF aurait protesté contre une décision de justice, entraînant un appel du Garde des Sceaux, suggérant une « influence directe de certains lobbies » sur la justice pénale.

Dans le monde de la finance et du pouvoir, des noms sont cités pour illustrer cette prétendue influence. Stéphane Macron, décrit comme un jeune et brillant banquier issu de la banque Rothschild, est présenté comme le numéro trois de l’Élysée sous François Hollande. De même, Stéphanie Israël, également de la banque Rothschild, aurait été directrice de cabinet d’Arnaud Montebourg. Ces exemples sont utilisés pour soutenir l’idée que certaines institutions financières auraient une mainmise sur les cercles du pouvoir.

Propagande et discours idéologiques

La vidéo dénonce également un « travail de propagande israélien fait en France que personne ne dénonce. » Le contraste est établi entre la mise en avant des portraits de soldats israéliens morts, avec leurs histoires personnelles, et l’absence de traitement similaire pour les civils palestiniens.

Des figures médiatiques sont également critiquées. Bernard-Henri Lévy est présenté comme quelqu’un qui « devrait être presque banni des médias pour mensonge répété, » mais qui continue d’expliquer que « nous les juifs sommes le trésor des nations et notre destin manifeste c’est de dominer les autres peuples. » Ce discours est interprété comme un « projet pour les 20 prochaines années. »

La souveraineté française en question

Au cœur de ces accusations, se trouve la question de la souveraineté française. Il est clairement exprimé le désir de ne pas voir « les intérêts d’un pays qui n’est pas le mien venir obscurcir ma vision de de l’état des choses. » L’idée qu’Israël serait « perpétuellement la victime » face à des « méchants pays arabes » est remise en question. La France est décrite comme un « hôtel » qui doit bien traiter ses employés et être accueillant pour ses clients, mais qui doit rester maître de son destin.

La conclusion est sans équivoque : face à cette influence perçue, il est affirmé la volonté de ne pas abandonner le pays « sans combattre, » soulignant une résistance forte à l’idée que la France puisse vivre « sous le règne de Bernard Henry Lévy d’Aziza et puis pour le spectacle de Arthur et de Hanouna. » La question de l’identité et de l’indépendance de la France, riche de 1500 ans d’histoire, est au centre de cette prise de position.

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