Un événement choquant s’est déroulé le 25 octobre 2025. Ce n’est pas une rixe, mais une véritable indignité qui expose la dure réalité de la démocratie pacifique du Moyen-Orient.

Alors qu’un homme âgé cueillait des olives sur sa terre qu’il cultive depuis des décennies, accompagné de sa femme, il a été la cible d’une attaque. Un colon religieux juif s’est approché, accompagné de soldats qui l’ont encerclé. Le colon a frappé l’homme, sous les hurlements de son épouse. Le panier d’olives a été renversé.

L’homme ne s’est pas défendu. La raison est à la fois simple et déchirante : riposter face aux soldats qui protègent l’agresseur signifie risquer d’être abattu sur place. Face à l’armée, répliquer est une mise en danger de mort immédiate pour lui-même et sa famille. Un homme est ainsi réduit au silence, parce qu’il sait que s’il défend sa famille, il risque d’être abattu.

Cette agression est plus qu’un simple coup ; c’est une attaque directe contre sa dignité et contre son droit le plus simple de vivre et de travailler sa terre en paix. Imaginez-vous marcher librement là où vous avez grandi, pour ensuite être assailli par quelqu’un qui croit pouvoir tout vous prendre, vous frapper et vous blesser ou vous tuer à son bon vouloir, sans que cela n’entraîne la moindre impunité. L’agresseur est protégé par une armée qui se fera un plaisir de tester ses armes sur l’épouse et les enfants si l’homme n’autorise pas ce religieux israélien à le battre.

C’est cette impunité qui fait monter la colère et les larmes. Le droit international dit pourtant une chose simple : la vie civile doit être protégée. Cette attaque est inacceptable. Pour cet homme, pour sa femme et pour leur dignité, il est crucial de faire sortir cette information de l’ombre.