Gaza, la « mine d’or immobilière » qui doit financer la guerre

Des propos chocs sur l’avenir foncier de Gaza

Alors que les Palestiniens continuent de fuir la ville, des déclarations explosives émanant du ministre israélien des Finances soulèvent des questions majeures sur les intentions d’Israël concernant les territoires de Gaza. Le ministre a qualifié, sans détour, Gaza de « mine d’or immobilière », une expression qui résume une vision potentielle de reconstruction et de profit.

Ces propos s’inscrivent dans une démarche concrète de négociation. Le ministre a en effet affirmé avoir entamé des discussions avec les Américains. L’objectif de ces pourparlers est clair : exiger le partage des bénéfices qui seraient tirés de la vente des terrains à Gaza. Cette demande est justifiée par la somme d’argent conséquente qu’Israël a dépensée dans le cadre de la guerre.

Démolition, rénovation et phase de construction

Le ministre a par ailleurs décrit le processus en cours comme une véritable séquence de rénovation urbaine. Selon ses explications, la phase de démolition est désormais terminée, celle-ci étant perçue comme la première étape nécessaire à une rénovation.

L’étape suivante, celle de la construction, est désormais envisagée. Le ministre a précisé que cette phase sera nettement moins coûteuse que celle de la démolition. Ces déclarations, faites avec un sérieux assumé, soulignent une approche de la situation qui dépasse la simple opération militaire pour s’inscrire dans une perspective de développement foncier et d’exploitation économique du territoire.

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