Gaza est aujourd’hui le théâtre d’une tragédie humaine d’une ampleur insoutenable, une blessure profonde infligée à la conscience universelle et un affront aux valeurs fondamentales sur lesquelles repose notre ordre international. Ce qui s’y déroule est moralement inacceptable, juridiquement injustifiable et humainement intolérable.

Des voix s’élèvent pour dénoncer la réalité déchirante où des enfants, des bébés, meurent faute de lait et d’eau. Le cœur d’une mère se serre à la vue de cette souffrance, car Gaza est devenue une terre de cadavres ambulants. Chaque jour, le bilan de la souffrance humaine s’alourdit. Des civils périssent en faisant la queue pour obtenir de la nourriture, et le tissu même de la société palestinienne est en train d’être déchiré. Il ne s’agit pas seulement d’un déni de liberté, mais du droit fondamental de vivre en tant qu’êtres humains.

Le monde entier observe avec horreur le déroulement d’une campagne qui cible enfants, femmes, personnes âgées, malades et blessés. Cette situation est perçue comme une violation flagrante du droit international humanitaire et des principes fondamentaux de la dignité humaine. C’est une transgression des normes les plus élémentaires du droit international.

Une question essentielle se pose : qui finance cette guerre ? Ceux qui y contribuent sont considérés comme complices et coupables de ces crimes qui se déroulent en Palestine, et des sanctions devraient être imposées. C’est une responsabilité que nous partageons tous, face à cette tragédie qui défie l’humanité.

La situation à Gaza est une violation flagrante du droit international humanitaire, des principes fondamentaux de la dignité humaine et des responsabilités que nous partageons tous. Le monde ne peut fermer les yeux sur ce qui s’y passe.