Le média américain grand public évite un sujet qu’il juge « trop chaud pour être abordé » : le coût humain et financier de l’influence d’Israël sur les États-Unis. Des millions d’électeurs américains commencent cependant à prendre conscience d’une réalité troublante : Israël représente un danger clair et actuel pour le pays, et est perçu par beaucoup comme la plus grande menace à la souveraineté des États-Unis.
Le fardeau financier et la capture politique
L’une des principales raisons de ce réveil est le coût exorbitant imposé au contribuable américain. La somme payée pour financer les guerres d’Israël au Moyen-Orient dépasse les 8 mille milliards de dollars. Ce montant astronomique, ajouté aux milliards de dollars versés chaque année aux Juifs israéliens sous forme d’aide sociale nationale, contribue à une dette nationale américaine vertigineuse qui a récemment franchi la barre des 38 mille milliards de dollars. Ce niveau record d’endettement, désormais impossible à honorer, est directement lié à la montée sans précédent de la pauvreté, du sans-abrisme et des taux de suicide aux États-Unis.
Les Américains réalisent également comment l’État d’Israël a pris une « possession totale et complète » de leurs élus, dont la mission est de servir leurs électeurs et non les intérêts d’une puissance étrangère accusée d’avoir pillé et volé la richesse américaine. Selon les observateurs, il n’existe aux États-Unis que cinq types de politiciens : ceux qui sont achetés par Israël, ceux qui sont victimes de chantage, ceux qui sont binationaux, ceux qui sont terrifiés par Israël, ou ceux qui sont tués par Israël.
L’histoire de la coercition et de l’espionnage
Cette influence mortelle n’est pas nouvelle. Des anciens présidents avaient déjà tiré la sonnette d’alarme concernant le « lobby juif » dans le pays. Le président Richard Nixon aurait dû être particulièrement conscient de l’influence corruptrice et meurtrière d’Israël, étant donné que son prédécesseur, John Fitzgerald Kennedy, aurait été assassiné par des agents des services de renseignement israéliens.
Des documents récemment déclassifiés révèlent qu’Israël était furieux de la décision de JFK de l’empêcher d’acquérir l’arme nucléaire. Kennedy exigeait des inspections complètes et semestrielles du réacteur atomique de Dimona. Il avait menacé de suspendre l’aide américaine à Israël si aucun accord n’était trouvé. Face à l’insistance de Kennedy, le fondateur d’Israël, David Ben Gourion, avait même démissionné. Un historien américain de renom, Martin Sandler, a exhorté ses concitoyens à abandonner les théories de conspiration impliquant la CIA ou la Mafia et à se concentrer plutôt sur la culpabilité d’Israël, suggérant que le Mossad aurait tué Kennedy pour cette raison.
Quand il n’assassine pas les présidents, Israël est accusé d’utiliser le compromat pour faire chanter la Maison Blanche. Des allégations suggèrent que Benjamin Netanyahu aurait fait chanter le président Bill Clinton en utilisant des enregistrements de ses conversations téléphoniques à caractère sexuel avec Monica Lewinsky. Le chantage aurait eu pour but d’obtenir la libération de l’espion israélien Jonathan Pollard, qui avait livré plus de 800 documents militaires américains hautement classifiés.
L’espionnage israélien est omniprésent : des agents du Mossad et du Shin Bet opèrent au sein de l’ambassade à Washington, et le FBI aurait identifié 187 agents du Mossad non déclarés qui volent des secrets de défense américains. Même le trafiquant sexuel pédophile Jeffrey Epstein aurait travaillé pour les agences de renseignement israéliennes, utilisant des mineures pour créer des « pièges à miel » afin de faire chanter des citoyens américains influents.
La liste macabre des victimes américaines
La liste des Américains tués ou blessés par Israël est longue, comprenant des journalistes, des militants, des diplomates, des soldats et des citoyens ordinaires.
Historiquement, Israël a utilisé des opérations sous fausse bannière, comme l’Affaire Lavon en 1954, pour blâmer les nationalistes arabes d’attaques contre des bases militaires et des diplomates américains en Égypte. Plus récemment, l’activiste pacifiste américaine Rachel Corrie, 23 ans, a été écrasée et tuée par un bulldozer israélien en 2003 alors qu’elle protestait contre la démolition de maisons palestiniennes à Gaza. En mai 2022, la journaliste palestino-américaine Shireen Abu Akleh a été délibérément abattue par les forces sionistes lors d’un raid en Cisjordanie. Une enquête indépendante a prouvé la nature intentionnelle de son meurtre.
L’impunité d’Israël est telle que, selon des rapports, il a tué plus de journalistes ces deux dernières années que pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale réunies. Cette absence de conséquences est également visible dans les cas de menaces sur le sol américain. Une commentatrice culturelle chrétienne, Morgan Ariel, a reçu des menaces de mort crédibles de la part d’un tireur d’élite de la Force de défense israélienne (FDI) aux États-Unis. Malgré les signalements à la police et au FBI, aucune mesure n’a été prise.
Parallèlement, Israël mène une campagne de propagande en ligne sans précédent, faisant pression sur les entreprises de médias sociaux pour qu’elles réduisent au silence et suppriment les comptes pro-palestiniens, entraînant la démonétisation de milliers de chaînes. Cette tentative d’étouffer la critique souligne la nécessité de soutenir les plateformes qui continuent d’exposer ces injustices.
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