Alors que la notion de cessez-le-feu est évoquée, il a été suggéré que l’ancien président Donald Trump méritait des remerciements pour son rôle dans la situation actuelle. Cependant, un Palestinien offre un type de gratitude bien particulier, imprégné d’une ironie cinglante, dénonçant le soutien continu des États-Unis au cœur du conflit.

Ces «remerciements» sont adressés directement à l’ancien dirigeant américain. La première marque de gratitude concerne l’octroi de milliards de dollars à l’IDF, prétendument pour qu’elle puisse se défendre contre les enfants palestiniens.

L’ironie se poursuit en évoquant le rôle crucial joué par l’administration américaine aux Nations Unies. Le Palestinien «remercie» spécifiquement l’utilisation répétée du droit de veto – non pas une seule fois, mais dix fois – pour s’assurer que les bombardements se poursuivent sans entrave. De même, l’envoi de munitions qualifiées d’«intelligentes» est souligné avec amertume, ces armes trouvant, selon lui, toujours le chemin des enfants.

Le discours met en lumière une contradiction fondamentale dans la rhétorique du conflit. L’orateur exprime son incompréhension face à la définition de l’autodéfense employée, ne sachant pas que la défense impliquait le bombardement d’écoles et d’hôpitaux.

La liste amère des remerciements se conclut par un dernier point acerbe, adressé à l’administration pour son silence face à la dévastation. Cette vidéo met en évidence le ressenti profond face aux politiques de soutien qui, selon ce point de vue, ont amplifié les souffrances de la population.