Benjamin Netanyahou, le chef de gouvernement le plus ancien de l’histoire d’Israël, est une figure officielle bien connue. Accusé d’être un criminel de guerre menant l’un des massacres les plus barbares de notre époque, il cache derrière cette façade une ombre, une histoire faite de dissimulation, entamée bien avant lui. Son propre père, Benzion Milikovski, avait déjà effacé son passé en adoptant le nom de Netanyahou. Trente ans plus tard, les révélations concernant Benjamin lui-même soulèvent des questions troublantes sur son identité réelle et son allégeance.
Le mystère du numéro de sécurité sociale partagé
Aux États-Unis, comme dans beaucoup de pays, la règle est simple : une personne, un numéro de sécurité sociale. Deux individus ne peuvent en aucun cas partager la même identité administrative. Pourtant, le dossier de sécurité sociale de Benjamin Netanyahou (numéro 0203 645 37) est associé à quatre noms différents.
Ce numéro unique serait rattaché à : Benjamin Netanyahou, Benjamin Nitaï, John G. Sullivan et John G. Sullivan Junior.
Si l’utilisation de Benjamin Netanyahou est évidente, et si le nom de Nitaï s’explique par une requête officielle déposée par Netanyahou lui-même au tribunal de Boston en 1973 pour adopter un nom plus court, aucune justification n’existe pour les deux autres noms. Qui sont ce John G. Sullivan, Père et Fils, qui partagent ce même numéro d’identification ? L’adresse rattachée à ces identités de Sullivan est par ailleurs inexistante.
Un fantôme dans le système, un dossier classé confidentiel
Le parcours de Netanyahou entre les deux pays est complexe : enfance partagée entre Israël et les États-Unis, service militaire en Israël, puis retour en Amérique pour obtenir sa licence et son master au MIT. Sa double citoyenneté lui aurait permis d’étudier aux États-Unis, de recevoir des prêts fédéraux et de travailler légalement comme tout citoyen américain.
Pourtant, lorsque des journalistes israéliens ont tenté d’enquêter sur le compte de crédit de Netanyahou, ce dossier, qui devrait révéler ses prêts, ses cartes et ses dettes, était totalement vide. Netanyahou apparaît comme un fantôme dans le système bancaire, réglant tout en liquide et n’ayant jamais emprunté.
Plus troublant encore, l’accès à son dossier de sécurité sociale fut refusé aux journalistes. Non pas pour une simple question de droit à la vie privée, mais parce que son dossier est classé confidentiel. Une telle classification n’est accordée qu’à cinq catégories précises de personnes : celles qui travaillent pour le FBI, la CIA, l’IRS, ou celles qui sont considérées comme terroristes ou criminelles.
Cette classification soulève une question majeure : Netanyahou appartient-il à l’une de ces catégories ? Dès 1996, un article du Washington Report and Middle East Affairs se demandait s’il était un agent lié à la CIA ou au FBI, ou s’il était recherché comme criminel de guerre et décrit comme un terroriste.
Le dilemme de la double nationalité
La question de la citoyenneté vient ajouter au mystère. La loi israélienne est claire : nul ne peut entrer à la Knesset s’il détient une double nationalité. Netanyahou affirme officiellement avoir renoncé à son passeport américain en 1982.
Pourtant, il refuse obstinément de permettre à la presse de consulter le dossier officiel conservé à l’ambassade américaine de Tel Aviv. Ce dossier détient la vérité sur son statut. Pourquoi en bloquer l’accès s’il n’a rien à cacher ?
Ce silence est d’autant plus lourd de sens que, selon la législation américaine, son statut de citoyen n’aurait jamais changé aux yeux des États-Unis. Benjamin Netanyahou resterait un citoyen américain dans les registres officiels. Cela signifie qu’il aurait pu se présenter devant son peuple pendant des décennies en prétendant n’être qu’israélien, tout en conservant son passeport américain dans l’ombre.
Un pion de washington ?
Ces changements de nom, ces identités multiples et ce dossier classé confidentiel ne sont peut-être que des anomalies bureaucratiques. Mais beaucoup se demandent si rien de tout cela n’est innocent.
La question persiste depuis les années 90, posée publiquement par certains journalistes et figures médiatiques israéliennes, voyant les ravages et la division causés par ses politiques : et si Netanyahou n’avait jamais été destiné à protéger Israël, mais au contraire à préparer sa destruction de l’intérieur ?
Netanyahou a-t-il été un agent sous couverture des États-Unis, protégé et couvert par les services de renseignement ? Était-il un pion, un double visage, façonné et utilisé comme un outil de Washington pour agir librement sans jamais être inquiété, même en utilisant un alias comme John J. Sullivan ?
L’évidence demeure : cet homme a toujours caché une partie essentielle de sa vie. Le mystère entourant ce numéro de sécurité sociale partagé reste au cœur de son histoire secrète.
Les multiples identités de benjamin netanyahou : un secret de 30 ans au cœur du système américain
Benjamin Netanyahou, le chef de gouvernement le plus ancien de l’histoire d’Israël, est une figure officielle bien connue. Accusé d’être un criminel de guerre menant l’un des massacres les plus barbares de notre époque, il cache derrière cette façade une ombre, une histoire faite de dissimulation, entamée bien avant lui. Son propre père, Benzion Milikovski, avait déjà effacé son passé en adoptant le nom de Netanyahou. Trente ans plus tard, les révélations concernant Benjamin lui-même soulèvent des questions troublantes sur son identité réelle et son allégeance.
Le mystère du numéro de sécurité sociale partagé
Aux États-Unis, comme dans beaucoup de pays, la règle est simple : une personne, un numéro de sécurité sociale. Deux individus ne peuvent en aucun cas partager la même identité administrative. Pourtant, le dossier de sécurité sociale de Benjamin Netanyahou (numéro 0203 645 37) est associé à quatre noms différents.
Ce numéro unique serait rattaché à : Benjamin Netanyahou, Benjamin Nitaï, John G. Sullivan et John G. Sullivan Junior.
Si l’utilisation de Benjamin Netanyahou est évidente, et si le nom de Nitaï s’explique par une requête officielle déposée par Netanyahou lui-même au tribunal de Boston en 1973 pour adopter un nom plus court, aucune justification n’existe pour les deux autres noms. Qui sont ce John G. Sullivan, Père et Fils, qui partagent ce même numéro d’identification ? L’adresse rattachée à ces identités de Sullivan est par ailleurs inexistante.
Un fantôme dans le système, un dossier classé confidentiel
Le parcours de Netanyahou entre les deux pays est complexe : enfance partagée entre Israël et les États-Unis, service militaire en Israël, puis retour en Amérique pour obtenir sa licence et son master au MIT. Sa double citoyenneté lui aurait permis d’étudier aux États-Unis, de recevoir des prêts fédéraux et de travailler légalement comme tout citoyen américain.
Pourtant, lorsque des journalistes israéliens ont tenté d’enquêter sur le compte de crédit de Netanyahou, ce dossier, qui devrait révéler ses prêts, ses cartes et ses dettes, était totalement vide. Netanyahou apparaît comme un fantôme dans le système bancaire, réglant tout en liquide et n’ayant jamais emprunté.
Plus troublant encore, l’accès à son dossier de sécurité sociale fut refusé aux journalistes. Non pas pour une simple question de droit à la vie privée, mais parce que son dossier est classé confidentiel. Une telle classification n’est accordée qu’à cinq catégories précises de personnes : celles qui travaillent pour le FBI, la CIA, l’IRS, ou celles qui sont considérées comme terroristes ou criminelles.
Cette classification soulève une question majeure : Netanyahou appartient-il à l’une de ces catégories ? Dès 1996, un article du Washington Report and Middle East Affairs se demandait s’il était un agent lié à la CIA ou au FBI, ou s’il était recherché comme criminel de guerre et décrit comme un terroriste.
Le dilemme de la double nationalité
La question de la citoyenneté vient ajouter au mystère. La loi israélienne est claire : nul ne peut entrer à la Knesset s’il détient une double nationalité. Netanyahou affirme officiellement avoir renoncé à son passeport américain en 1982.
Pourtant, il refuse obstinément de permettre à la presse de consulter le dossier officiel conservé à l’ambassade américaine de Tel Aviv. Ce dossier détient la vérité sur son statut. Pourquoi en bloquer l’accès s’il n’a rien à cacher ?
Ce silence est d’autant plus lourd de sens que, selon la législation américaine, son statut de citoyen n’aurait jamais changé aux yeux des États-Unis. Benjamin Netanyahou resterait un citoyen américain dans les registres officiels. Cela signifie qu’il aurait pu se présenter devant son peuple pendant des décennies en prétendant n’être qu’israélien, tout en conservant son passeport américain dans l’ombre.
Un pion de washington ?
Ces changements de nom, ces identités multiples et ce dossier classé confidentiel ne sont peut-être que des anomalies bureaucratiques. Mais beaucoup se demandent si rien de tout cela n’est innocent.
La question persiste depuis les années 90, posée publiquement par certains journalistes et figures médiatiques israéliennes, voyant les ravages et la division causés par ses politiques : et si Netanyahou n’avait jamais été destiné à protéger Israël, mais au contraire à préparer sa destruction de l’intérieur ?
Netanyahou a-t-il été un agent sous couverture des États-Unis, protégé et couvert par les services de renseignement ? Était-il un pion, un double visage, façonné et utilisé comme un outil de Washington pour agir librement sans jamais être inquiété, même en utilisant un alias comme John J. Sullivan ?
L’évidence demeure : cet homme a toujours caché une partie essentielle de sa vie. Le mystère entourant ce numéro de sécurité sociale partagé reste au cœur de son histoire secrète.
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