Le commentateur de cette vidéo affirme sans détour qu’Israël est totalement vaincu, quelle que soit l’issue des événements en cours. La défaite est jugée absolue et irréversible. La raison principale de cet échec retentissant est que les atrocités commises ont été vues en temps réel par le monde entier.

Selon l’analyse proposée, Israël est en train de perdre rapidement et ils en sont conscients. Cela transparaît notamment dans leurs déclarations concernant d’éventuelles négociations pour un cessez-le-feu (même s’il est vivement conseillé de ne jamais accorder aucune confiance aux mots qui sortent de leur bouche). La peur est attribuée à la résistance.

Malgré le manque d’armes et de ressources, la résistance donne du fil à retordre à l’une des armées les mieux équipées du monde. Le commentateur exprime son soutien à tout combattant de la liberté qui défend sa terre. Il s’interroge : que doit faire un peuple quand un colonisateur arrive, s’empare de tout – ressources, identité, tout – et commence à commettre un génocide ? La soumission n’est pas une option. Il est rappelé qu’une situation similaire s’est produite en Irlande pendant 800 ans, renforçant la conviction qu’il n’est pas controversé de soutenir un combattant qui lutte pour sa terre. Cette lutte dure depuis soixante-dix-sept ans.

Le verdict pour Israël est sévère : ils ont perdu misérablement. Ils sont décrits comme des perdants, des sionistes racistes sans boussole morale. Le commentateur conclut que la justice et le bien finissent toujours par triompher, même si cela doit prendre soixante-dix-sept ans de plus.

Cette situation a également des conséquences pour l’avenir. Malgré les tentatives de propagande, notamment le récit centré sur le 7 octobre, la vérité ne passera plus. Cet épisode entrera dans les livres d’histoire, mais avec des images en direct prouvant les atrocités commises. En conséquence, ceux qui sont impliqués devront cacher leur identité. Cela s’applique même au petit nombre d’Israéliens qui s’opposaient à toutes ces actions, et pour qui le commentateur exprime de la peine.