Après l’Holocauste, le monde s’était promis : « plus jamais ça ». Pourtant, une voix s’élève aujourd’hui pour dénoncer une « catastrophe absolue », une cruauté qui dépasse l’entendement et qui se déroule sous nos yeux.
Ce témoignage poignant est celui d’une personne qui ne peut plus tolérer le silence et l’inaction. « Je ne peux pas dormir la nuit », confie-t-elle, « et je ne peux pas vivre avec moi-même en sachant que nous laissons faire ça ». Ayant traversé 18 guerres et trois génocides, elle affirme que ce que la communauté internationale permet actuellement est « la chose la plus choquante et la plus angoissante » qu’elle ait vue de toute sa vie.
Au cœur de cette indignation se trouve une accusation directe : celle d’appliquer un deux poids, deux mesures flagrant. Le contraste dressé est saisissant et révélateur de ce que l’oratrice nomme des « doubles standards ». Lorsqu’une bombe frappe un hôpital en Ukraine et tue six personnes, Ursula von der Leyen qualifie l’acte de crime de guerre. Mais lorsque de nombreuses bombes s’abattent sur Gaza, tuant des centaines de personnes en une seule nuit, la rhétorique change radicalement pour devenir « le droit d’Israël à se défendre ».
Face à cette situation intolérable, l’appel est clair et sans équivoque : la politique israélienne doit cesser. L’oratrice exhorte la communauté internationale à intervenir et à agir « pour une fois sans doubles standards ». C’est un appel urgent à mettre fin à l’inaction et à l’hypocrisie, face à une tragédie qui se déroule en ce moment même.
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