Le monde entier observe avec horreur les scènes qui se déroulent à Gaza. Dans ce contexte dramatique, Ed Davey, une figure politique britannique, a lancé un appel retentissant, demandant au Royaume-Uni de ne pas rester les bras croisés face à la situation et d’agir, notamment en sanctionnant le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.
Ed Davey a exprimé son indignation face aux propositions des ministres de Netanyahou de « verrouiller toute la population de Gaza dans ce qui serait effectivement une prison géante ». Il a souligné que ce plan pourrait « clairement s’apparenter à un nettoyage ethnique », une accusation précédemment formulée par l’ancien Premier ministre israélien Mut. Face à ce qu’il considère comme une horreur insoutenable et inacceptable, Davey a exhorté le gouvernement britannique à clarifier sa position auprès des autorités israéliennes et à prendre des mesures concrètes.
En réponse, le Premier ministre britannique a partagé son effroi face à ces suggestions concernant Gaza, ainsi qu’aux rapports faisant état de la mort de civils alors qu’ils tentaient d’obtenir de l’aide. Il a assuré que ces préoccupations étaient régulièrement soulevées. Le Premier ministre a insisté sur la nécessité d’une enquête complète et transparente concernant les décès de civils, exigeant une pleine reddition de comptes pour tout manquement. Il a également rappelé qu’Israël doit impérativement mettre en place des mesures adéquates pour protéger les civils, conformément au droit international, une exigence que le Royaume-Uni presse sans relâche.
Au-delà de ces appels à la responsabilité, la Grande-Bretagne souhaite également ardemment un cessez-le-feu immédiat. L’objectif est double : permettre la libération des otages restants et garantir l’acheminement rapide et en volume de l’aide humanitaire. Pour une solution durable à cette crise, le gouvernement britannique estime qu’un processus politique est la seule voie viable.
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