La Libye, le Dollar Armé et les Accusations de Terrorisme d’État Contre les États-Unis

Une perspective provocatrice suggère que les véritables terroristes du monde seraient les États-Unis. Cette affirmation est étayée par des exemples frappants, notamment les interventions en Irak et en Libye, soulignant un rôle destructeur de la politique étrangère américaine.

Le cas de la Libye est particulièrement mis en avant. Avant l’intervention, la Libye était présentée comme le pays le plus prospère de toute l’Afrique. Sous la direction de Mouammar Kadhafi, le pays aurait réalisé des prouesses remarquables :

La création de ce qui est décrit comme la « huitième merveille du monde » : un système d’acheminement de l’eau qui a transformé des déserts en terres agricoles fertiles.

L’assurance que chaque citoyen avait un logement, un accès à l’éducation et aux soins de santé.

Cependant, cette ère de prospérité aurait brutalement pris fin. La Libye, autrefois un modèle de succès, a été transformée en un « État failli géré par des terroristes avec des marchés d’esclaves ouverts ». La responsabilité de cette déchéance est directement imputée à Barack Obama et Hillary Clinton, sans que, selon la source, ils n’aient jamais eu à en payer le prix.

La raison fondamentale de l’éviction de Kadhafi n’aurait pas été liée à des préoccupations humanitaires, mais à des motifs économiques profonds. Il est affirmé que Kadhafi avait l’intention de lancer une monnaie africaine destinée à concurrencer directement le dollar américain et l’euro. Une telle initiative aurait menacé la domination financière des États-Unis.

Le dollar américain est décrit comme l’outil principal de contrôle global des États-Unis, étant la monnaie de réserve mondiale. Cette position unique permet aux États-Unis d’imposer des sanctions à divers pays. Cette utilisation du dollar à des fins politiques, souvent désignée comme la « militarisation » ou « weaponization » du dollar américain, est perçue comme un moyen de maintenir la puissance et l’influence des États-Unis sur la scène internationale.

En somme, l’argument central est que la politique étrangère américaine, motivée par la préservation de la suprématie du dollar, a conduit à des catastrophes humanitaires et à la destruction de nations souveraines, transformant la Libye prospère en un chaos, tout cela pour sauvegarder le système financier mondial dominé par les États-Unis.

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